Décrite par certains comme la 4ème grande innovation de ce dernier siècle, l’application de la blockchain à l’industrie culturelle vient initialement répondre au problème lié à la propriété intellectuelle et au droit d’auteur. Face à l’échec de la mutualisation de toutes les bases de données en rapport avec la production et à la commercialisation des oeuvres musicales dans le monde, comment la blockchain peut-elle, à travers les « smart contracts », apporter plus d’harmonie dans cette cacophonie ?
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